Suite à un article consacré à la fourrière municipale (notre édition du 29 juillet), la Ligue dans l’intérêt de la société et de l’animal ( LISA) reconnaît qu’il y a eu dans ses propos tenus lors de son assemblé générale du 24 mai 2003.
Lorsque nous disons que du temps où nous placions les chiens de la fourrière municipale. Nous évitions 150 euthanasies. nous voulions dire simplement que nous permettions de les placer par nos propres moyens de les sauver, quand la SPA ne les prenait pas, expliquent Sabrina et Évelyne Maillet, présidente et ex présidente de l’association.
La fourrière nous alertait des risques d’euthanasie. Nous prenions aussi chez nous les vieux chiens. On payait les frais de vaccination et de tatouage, ainsi que certaines interventions chirurgicales.
Mais la réglementation a changé. Comme nous n’avons pas de refuge, il a été décidé il y a deux ans de confier les animaux aux refuges pour les placements.
La nouvelle municipalité a voulu être en règle, nous sommes contentes si les euthanasies sont évitées, seulement que deviennent les vieux chiens ? Sont-ils pris par la SPA ? Nous posons la question ?
Enfin, la LISA s’étonne aussi de ne plus recevoir de subvention de la ville. L’ancienne municipalité nous accordait 10.000 francs par an. Aujourd’hui, nous avons zéro subvention. ” Et la présidente d’ajouter : Pour faire vivre notre association, nous avons touché des aides financières en 2002 de 700 généreux donateurs; mais notre association ne compte que 150 à 200 adhérents.” Et de glisser au passage un message pour la cause animale “Nous recherchons toujours des familles d’accueil pour les chiens comme pour les chats recueillis.
Pour adopter les animaux ,abandonnés de la LISA, faire le 06.81.93.62.18 pour les chiens et le 06.23.02.60.86 pour les chats.